Nous nous sommes sentis bien dans cette ville. 

Ce qui nous a marqué c'est ce respect, cette bienveillance, cet accueil autour d'un dynamisme apaisant. Des grattes ciels au parc boisés aux jolies couleurs d'automne, les costumes et tailleurs jalonnent les rues dont la propreté est de rigueur avec ses zones réservées aux fumeurs.

Nous y retiendrons le Palais Imperial, la Tokyo Skytree Town de 634 mètres, le sanctuaire de Meiji Jingu et sa fête des enfants avec de magnifique kimono, le quartier de Shibuya et son carrefour où nous n'étions pas l'heure de pointe à 19h avec 3000 personnes par passage au vert mais tout de même , le marché aux poissons de Tsukiji avec ses restaurants, ses aiguiseurs de couteaux et cette queue de 20 mètres pour déguster une simple omelette (moins d'un euro la portion), la ville électrique de Akihabara et ses jeux vidéo, le théâtre de Kabuki et son spectacle. 
On en retiendra également cet attachement à la France, ces marques de luxe, ces "boulangeries" un peu partout, ces "cafés", ces "bistrots", ces "brasseries"/"restaurants", les boutiques "l'occitane" qui soulignent l'importance du bien être puis cette offrande de tonneau de vin de bourgogne à l'entrée du temple Sensoji.

L'hostel Anne nous a accueilli pour ces deux nuits sur Tokyo, une très jolie auberge, très bien située au cœur de Tokyo. Il n'y a pas besoin de sauter par dessus les tourniquets (ce serait très mal perçu ici), le Japon Rail Pass permet de s'y rendre.
C'est d'ailleurs avec ce dernier que nous avons fait tous nos déplacements. Pas besoin de prendre le Subway, le JR suffit avec de bonne basket pour éviter les ampoules (environ 15 km par jour, essentiellement à l'aide de l'application gratuite Tokyo City Walks) et d'un bon sens de l'orientation